La ferme… vue de l’aglomération de la Rochelle
L’agglomération de La Rochelle alimente un site internet lié à la mise en place de L’agenda 21 de l’agglomération . Des initiatives en phase avec des pratiques plus respectueuses de l’épanouissement des générations futures sont présentées. C’est dans ce cadre que notre projet à suscité de la curiosité. Pour découvrir la perception de notre projet vue du territoire rochelais, vous pouvez retrouver l’article dans son intégralité en cliquant sur le lien suivant : Voir l’article en entier
Vivre aujourd’hui sans attenter aux besoins de ceux qui viendront après nous. Au début du 20ème siècle, on croyait ferme au progrès. On ne se posait pas la question des limites des ressources terrestres. On espérait que les avancées scientifiques viendraient un jour à bout des maux de l’Humanité. Un siècle plus tard, cette Humanité a pris conscience de vivre sur une planète fragile, dont les ressources s’épuisent.
La civilisation industrielle a engendré des pollutions, produit de plus en plus de déchets, elle a contribué au recul des forêts, à l’avancée des déserts. Ce modèle de développement, s’il demeure inchangé, ne peut qu’accentuer la disparition de la biodiversité et accélérer le réchauffement climatique. Le modèle économique dominant au 20ème siècle n’a pas non plus été porteur de réponses satisfaisantes aux problèmes des pays les plus pauvres. Les inégalités se sont creusées entre Nord et Sud et au sein même de chaque pays.
A partir de ces constats, le concept de développement durable se présente comme un nouveau projet de société : le développement économique doit concorder avec la préservation des équilibres écologiques et une plus grande équité sociale. Le développement durable, appelé « soutenable » par les anglophones (sustainable development) repose sur trois piliers, l’écologique, l’économique, le social. Sa définition la plus couramment acceptée est celle issue du rapport Brundtland de 1987 « un dévelopement qui répond aux besoins du présent, à commencer par ceux des plus démunis, sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs”.